Varius Zornam
Assassin- Indépendant

◘ L'un des meilleurs assassins des Terminus
◘ Sévit dans les Terminus et la Travée
◘ Redouté et craint sur toutes les colonies

◘ Plutôt maigre pour un Turien, Varius a la taille moyenne de ses congénères et passe plutôt inaperçu dans une foule. Pourtant quiconque s’intéresserait à lui remarquerait immédiatement ses deux longs couteaux aiguisés, et surtout son regard qui donnerait des sueurs froides à un Krogan.  

◘ Depuis la mort de ses parents, assassinés sous ses yeux, Varius est mentalement dérangé. Sociopathe sanguinaire, Varius ne ressent aucun sentiment mais seulement un vide en lui, un vide qu’il s’emploie à remplir par le sang ruisselant de ses victimes. Il garde toujours un trophée de ses meilleures victimes, un doigt.

◘ Varius est un sociopathe sanguinaire incapable de supporter les relations normales avec autrui sans qu'il ne finisse pas éventrer son interlocuteur.

◘ Varius est l'agent préféré de nombreux barons de l'ézo et possède leur soutien inconditionnel à condition qu'il ne dépasse pas la limite dans ses meurtres, c'est à dire qu'il ne s'en prenne pas à eux.

Varius est né sur le monde barbare de Korlus, où les meurtres sont plus courants que les naissances de Vortchas. Classé troisième monde en terme de meurtres locaux et premier en meurtres d’étrangers, Korlus a forgé Varius comme elle a détruit les plus faibles de ses résidents, dans la violence et le sang.

Sociopathe sanguinaire, Varius a vu ses parents se faire réduire en morceau dans des broyeurs à ordure par des gangsters locaux et a connu depuis la spirale infernale de la vengeance. Meurtrier à l’âge de 13 ans, le Turien n’a depuis cessé d’exercer son art du meurtre et particulièrement ses talents aux couteaux. Ses deux lames, forgées avec des matériaux récupérés sur la carlingue d’un vaisseau, ne l’ont depuis jamais quitté et c’est avec une joie malsaine qu’il satisfait leur soif de sang.
Devenu le meilleur assassin de la planète, Varius ne tarda pas à se mettre à dos les puissants Soleils Bleus, qui n’appréciaient guère les indépendants et le forcèrent à quitter son monde natal, non sans avoir d'abord égorgé toute une escouade de ses puissants détracteurs.

Il a alors parcouru en long et en large l’espace, prenant les contrats qui venaient pour étancher son besoin pathologique de meurtre. Mais c’est lors de la Grande Guerre que Varius trouva finalement son bonheur. Participant aux combats les plus sanglants, l’assassin faillit connaître maintes fois la fin qu’il attendait, noyé sous une montagne de corps. Pourtant il survécut, mais n’eut pas le temps de s’ennuyer car les conflits se succédèrent à un rythme effréné, jusqu’au jour où les barons de l’ézo ramenèrent le calme dans les Terminus.

Varius connut alors le pire moment de sa vie, un désœuvrement total pour son esprit dérangé. Le retour aux petits contrats faillit lui être fatal jusqu’au jour où certains barons de l’ézo lui proposèrent de mener plusieurs raids contre des entreprises concilliennes dans la Travée de l’Attique. Depuis Varius ne rêve que d’une guerre totale entre les Terminus et le Conseil et il enchaine les contrats, attaquant avec la plus sauvage barbarie les sièges d’entreprises. Il va parfois même jusqu’à s’aventurer au sein même des colonies de la Travée.