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 Amiral Varto, au rapport. [100%]

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Vassily Varto
Vassily Varto
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06/12/2013
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Faction: Alliance Interstellaire
Métier: Amiral en Chef
Alignement: Loyal Neutre

Amiral Varto, au rapport. [100%] Empty
MessageSujet: Amiral Varto, au rapport. [100%]   Amiral Varto, au rapport. [100%] Icon_minitimeMer 8 Jan - 1:15

VASSILY VARTO
Informations générales :



   • Nom : Varto
   • Prénom : Vassily
   • Date de naissance : 5 Janvier 2147
   • Lieu de naissance : Moscou
   • Âge : 46 ans
   • Sexe : Masculin

   • Faction : Alliance Interstellaire
   • Affiliation : Amirauté de l'Armée de l'Alliance Interstellaire
   • Fonction : Amiral Chef des Flottes (communément appelé "Amiral en Chef", même si ce n'est pas une appellation officielle).
   • Alignement : Loyal Neutre

   
Histoire

4 Avril 2192, Ambassade Humaine, 20h42.

Une fois n'était pas coutume : Vassily observait l'espace intersidéral, de son noir le plus profond, à travers la baie vitrée de l'Ambassade. Traditionnellement, chaque ambassade de la dénommée Station Alpha avait une vue principale sur les jardins de la Cour des Ambassades ; des jardins artificiellement créés pour donner une atmosphère plus vivante au quartier politique, ce qui n'était pas si différent du Présidium, quoique moins élégant. Mais il existait une deuxième salle, servant un peu à tout, qui elle daignait montrer le véritable paysage extérieur : la Nébuleuse du Serpent, dans une splendeur étrange. Le déplacement définitif de la Citadelle avait comme influé sur l'état de son ancien secteur. Comme si les sortes de nuages s'étaient dispersées dans le vide, perturbés par l'absence de l'immense édifice qui trônait là depuis des milliers et des milliers d'années... Et pour cause, les Moissonneurs avaient quelque peu déplacé le relais menant au secteur de la Citadelle. Sans doute n'avaient-ils pas tenu à ce que les possibles interférences soient trop fortes, ce qui rendait la dispersion du nuage plus inégale encore. Et cela procurait un spectacle de lumières et d'obscurité unique en son genre. Un lieu inimitable dans la Galaxie. C'était une vision que Vassily ne pouvait manquer.

D'un autre côté, s'il était pensif, ce n'était pas pour ça. Il ne consacrait que quelques secondes à admirer le paysage, avant de se perdre définitivement dans ses pensées. A l'origine, il était venu remplir la formalité de l'Alliance dans l'inauguration d'Alpha. Déjà surnommée la Tour, comme un douloureux souvenir, elle avait été terminée deux mois plus tôt. Le temps de préparer les fonctionnalités, d'y installer le personnel, les festivités n'ont été données que maintenant. La plupart découvrent leurs locaux pour la première fois. Mais globalement, tout le monde s'en contrefichait. C'était surtout la joie qu'un programme concilien arrive à terme, surtout pour les habitués du genre ; à savoir les représentants, les ambassadeurs et les politiciens, pratiquement tous présents. Et il fallait, malgré tout, que les Armées fassent aussi preuve de présence. C'était là le problème de l'Alliance : l'Amiral Hackett venait d'annoncer son départ. Et puisque nul ne savait s'il ferait acte de présence ce soir, un suppléant avait été envoyé - preuve de la bonne organisation de l'Armée de l'Alliance. Mais ce que Vassily ignorait jusque là, c'était qu'il allait n'allait pas que suppléer temporairement son supérieur.



12 Décembre 2176, Station Arcturus, 13h27.

« Lieutenant Varto ? » annonçait-on à haute voix.
Parmi la foule - enfin les quelques personnes qui patientaient dans le silence le plus insoutenable - une tête se leva et acquiesça machinalement. Une demi-seconde plus tard, le réflexe du jeune soldat ne se fit plus prié : il se redressa, se leva brusquement et fit le salut militaire au Commandant (ou à la Commandante ? A priori, il ne savait jamais si c'était sexiste ou non) qui venait de l'appeler. Celle-ci émit un maigre « repos, soldat » tout en baissant les yeux pour consulter son dossier. Elle murmura quelques mots et baragouina dans un langage que l'adressé ne comprenait ni d'Eve ni d'Adam. « Très bien. Suivez-moi. » conclut-elle avant de tourner les talons.
Elle ne paraissait ni trop jeune, ni trop âgée, ni particulièrement sympathique. Vassily imagina qu'il s'agissait sûrement d'un ancien soldat qui aurait fini bureaucrate, à force d'accumuler la tâche administrative. A l'idée de devenir comme ça, le moscovite grimaça. Il était comme tout le monde au début de sa carrière, à espérer devenir un vétéran toute sa vie. Mais, voilà. Il ne savait même pas où on l'accompagnait, alors savoir où il serait dans... disons 17 ans aurait été difficile à deviner. Lui, on l'avait convoqué sur Arcturus pour, parait-il, "formalité administrative". En revanche, s'il ne se baladait pas souvent dans les moindres recoins de la station, il savait que les formalités administratives ne requièrent pas un commandant comme accompagnateur. Et encore moins de devoir se rendre dans l'absolue nécessité sur Arcturus, sauf si on s'y trouve déjà. La curiosité le rongeait autant que le stress.

Mais lorsque finalement la commandante se stoppa devant une porte, son visage et son corps se figèrent net. « Lieutentant, restez-là jusqu'à temps que l'on vous invite à entrer... » lui dit-on avant que le voix ne s'éloigne de plus en plus. Il ne remarqua pas à quelle point elle pouvait être attentive ou pressée. Il avait juste vu le nom et le grade qui, associés, étaient tout aussi impressionnants qu'effrayants. Il était en face du bureau personnel du Vice-Amiral Sullivan Horth. Sullivan Horth, bon sang ! Certes, ce n'était pas Jon Grissom, mais c'était un héros de guerre.

« Et bien, ne restez pas planté là. Entrez. » bégaya l'intéressé, qui venait d'apparaître un café à la main. Machinalement, il se dirigea vers sa porte et appuya sur le bouton. Elle ouvrit en un rien de temps et le fameux héros s'y glissa assez vite, bondissant derrière son bureau avant que son invité n'ait eu le temps de faire un pas. Ce dernier avançait, peu sûr de lui, regrettant d'avoir mis le premier habit formel qu'il avait eu sous la main. Sa main tremblait, les rythmes de son cœur battaient comme jamais. Toujours perturbé, il adressa son salut militaire le plus strict et resta comme coincé. Jusque là, il avait mené une vie paisible, pas vraiment bousculée. Dès son entrée dans l'Armée, on lui avait bien fait comprendre qu'il ne verrait jamais un gradé plus élevé qu'un Capitaine. « Sous-Lieutenant Vassily Varto, sous les ordres du Lieutenant Samya Gersh depuis un an. SSV Arnhem. ». On ne posait pas de question. « En dix années de service, vous avez changé quatre fois de vaisseaux et cinq fois de supérieur hiérarchique direct. » Toujours aucune question. On se contenait d'acquiescer d'une part et d'autre. « Vous êtes né à Moscou, issus d'une famille de bijoutiers ; enfance aisée, bon quartier, ni frère ni sœur qui plus est. Un traumatisme alors que vous aviez 17 ans : un braqueur tue votre père et votre mère. C'est ça ? » On acquiesçait encore, le bras toujours tendu. « Vous êtes entré dans l'Armée en quête de justice ? » Dans un souffle, Vassily relâcha prise et baissa légèrement sa main trônant sur son front. « Je l'ai fais parce que ma tante était alcoolique. » Sullivan le fixait. « Pas de fascination pour l'Espace, pas d'envie de voyager, pas de rêveries ? » Un hochement de tête qui voulait dire « Non ». « Votre première affectation sur un vaisseau date de... 67. Le SSV Cape Town, je crois. Puis, comme je le disais, beaucoup de frégates. J'ai contacté l'ensemble de vos superviseurs. Beaucoup ne se souvenaient pas particulièrement de vous, les autres vous décrivent exactement pareil : compétent, peu ambitieux, effacé, voire remplaçable. » Vassily ne savait pas s'il devait apprécier ces commentaires ou non. « Vous êtes clairement un soldat sans désir de carrière, Lieutenant. Un rouage parmi les autres. »

Sullivan soupira et prit une gorgée de son café. « Avec tout le respect que je vous dois... Je ne comprends pas où vous voulez en venir, Amiral. » L'autre termina de boire tranquillement avant de se lever et d'être ainsi à la hauteur de son interlocuteur, puisqu'il était assis depuis le début de l'entretien. « Vous vous souvenez avoir passé "l'Examen d'Intelligence Tactique" le mois passé ? » « Oui. » « Pourquoi ? » En face, on ne savait plus trop quoi répondre. Tout cela était flou. « Est-ce interdit ? »
Le Vice-Amiral esquissa un sourire. Vassily aurait pu faire preuve d'arrogance, mais il avait l'air réellement sincère dans ses réponses. « Vous avez obtenu la note la plus élevée. 96%. C'est plus que la plupart des N6 en activité. » affirmait-on. « Ça m'intrigue. Vous allez être briefé puis envoyé à Rio pour votre formation. Vous serez ensuite affecté à mon équipe... »


25 Décembre 2180, Watson.

« Bordel, Horth, me reste pas sur les bras. »

Sullivan se cramponnait à son fusil. Aussi solide soit-il, deux balles venaient de lui transpercer l'aine côté gauche et l'épaule droite. « Je suis trop vieux... » soufflait-il. « Tais-toi. » L'Amiral regardait son subordonné dans les yeux. Il avait durement combattu pendant presque deux décennies pour l'Alliance. Ce n'était pas pour mourir sur Watson. Mais ce n'est pas lui qui édictait les règles, après tout. « All... Allô ? Vous me rece-recevez ? On se fait canardé ici... » sonnait une voix brouillée, sur l'omni-tech endommagé du Commandant. « Vas-y. Ils ont besoin de toi ». « Non, non, non. Je ne te laisse pas... »



2183, Site du Lancement du Normandy, Station Arcturus.

Le Normandy brillait de milles feux sous les projecteurs de l'Alliance. Rares étaient les personnes à être au courant d'un tel projet, si bien que sa notoriété publique était quasi-inexistante. Mais la plupart des marines et des techniciens qui avaient planché sur ce vaisseau extrêmement coûteux ne pouvait qu'admirer la beauté de leur œuvre, bien que certains avaient toujours eu du mal avec le fait que les Turiens aient collaboré. Des Turiens qui, d'ailleurs, étaient aussi présents. En minorité, bien rangés dans leur coin et à l'abri des regards, mais ils étaient là - exceptionnellement autorisés par l'Amirauté à venir assister à l'attraction principale de la journée.

Varto était là, conquis par le spectacle, accoudé à la rambarde qui dominait le quai. Il voyait l'ensemble de l'équipage embarquer sur le prototype comme si c'était la routine. Se frottant le menton, le N7 se demandait ce qu'ils en feraient si le projet finissait par échouer.

« Vous auriez aimé en avoir un comme ça, Vassily ? » demanda une voix indiscrète. Naturellement, l'adressé jeta un coup d’œil au-dessus de son épaule. Il avait su reconnaître la voix. « Il a un joli nom. » rétorqua t-il. Il avait toujours une façon élémentaire de ne jamais répondre directement à la question. Et puis, d'autant plus, diriger un vaisseau dépassait sa compétence. Pendant ce temps, son interlocuteur venait de passer à côté de lui ; le dos bien droit, il observait le tout d'un œil bien différent. « Pourquoi s'appelle t-il Normandy au juste ? » « C'est le nom qui est sorti de la liste. » Ah, la liste. Le répertoire magique qui renseignait les noms théoriquement possibles et les noms déjà pris. Le secrétaire qui les répertoriait devait s'amuser à inscrire chaque nouvelle corvette, chaque nouveau croiseur, chaque nouveau cargo dans sa catégorie et à la suite des autres.

Le silence régna quelques minutes entre les deux hommes. Ils étaient habitués à ne pas parler. Surtout qu'ils n'étaient pas vraiment là pour se taper la discussion. Ni même pour regarder le Normandy s'envoler pour sa première mission ; bien que ça aurait pu être une occupation comme une autre s'ils n'avaient pas dû être là. Mais non. Ils attendaient quelqu'un. Quelqu'un qui débarquait au loin. Le voyant arriver d'un coin de l’œil, Varto se redressa et se tourna sur sa droite. L'autre, remarquant le changement de position, en fit de même.

« Amiral Hackett ! » prononça fièrement le dernier arrivé avec un salut des plus règlementaires. Un salut qui lui fut rendu illico presto. Il se pencha ensuite vers quelqu'un qu'il n'avait jamais rencontré jusque là. « Capitaine Varto, je présume ? Ravi de vous rencontrer. » dit-il en tendant la main. « De même, Capitaine Anderson. » répondit-on, la poignée de main acceptée. Il était maintenant temps de procéder au briefing sur l'affaire Eden Prime.



2187, Guerre contre les Moissonneurs, Site de construction du Creuset.

On évitait tout le monde, toutes sortes de personnes et même toute sorte de créatures. Croiser des soldats, des scientifiques était normal. Dire bonjour à des Galariens ou à des Krogans qui s'étaient perdus était une chose plus originale. Mais enjamber des Rachnis, c'était une première. Très intelligentes, mais aussi encombrantes que les veilleurs, sur le principe. Elles étaient cependant un allié de taille. Enfin, on n'était pas non plus là pour réfléchir à ce genre de chose. Varto avait d'autres choses en tête et n'avait que pour objectif de gagner la salle de commandement.

Sans demander la permission aux gardes - qui de toute façon étaient restés bloqués la main sur leur front - il entra en trombe. Une entrée légèrement brusque qui l'obligea à ralentir soudainement et à s'arrêter près de la porte. Il inspira un bon coup. « Amiral... » « Vous êtes là pour Cerberus. Je sais. »

Hackett avait cette tendance à prévoir ce type d'entrevue, ce qui irritait Vassily par moment. D'un autre côté, il était trop submergé pour s'abandonner à une quelconque perturbation. Il gravit les quelques marches qui le séparaient de Hackett, qui demeurait le regard fixé sur le Creuset. « Nous en avons déjà discuté mais... » « Vous êtes une ressource importante pour l'Alliance, Directeur. Je ne peux pas vous permettre de faire ce que vous comptez faire. » expliqua l'Amiral. « Je ne suis pas le Commandant Shepard. Je ne suis pas indispensable. De plus, vous savez que Cerberus pourrait entraver notre opération sur Terre. » Hackett se retourna vers son subordonné. « Shepard s'occupe de Cerberus, justement. » « Juste de l'Homme-Trouble. La division terrienne est en stand by et les rapports confirment que... » « Assez. »

Le Chef avait tonné suffisamment fort pour que les oreilles de son interlocuteur frétillent. « Vous envoyer là-bas serait du suicide. Anderson a été clair sur ce point. » « Pas avec le Ain Jalut. » défia t-on. Le Ain Jalut était le premier vaisseau de classe Normandy, autre que le Normandy. Il possédait comme lui un système furtif conséquent ; peut-être pas aussi évolué mais sans doute suffisant. « Eden saura prendre mes responsabilités. » Hackett se frotta le menton, tournant le dos et s'éloignant légèrement de Varto. « Hackett... Mon fils est là-bas. »



« Dix jours avant avant la reprise de la Terre », 2187, Terre.

« Qu'est-ce que vous faites là, Anderson ? »

L'Amiral venait de faire une irruption furtive dans la tente de son nouveau collègue, arrivé deux semaines plus tôt. Il portait le même accoutrement depuis des lustres, sa casquette toujours postée sur son front. Ce front bien trop plissé, démangé par l'honneur et rongé par la colère. Il regardait Varto préparer son propre équipement, qu'il avait amené avec lui à son arrivée. Il enfilait une armure de combat style medium, mais conçue pour se porter comme une armure légère. Le genre avec lequel on ne part en mission qu'une seule fois. Ça se voyait. « Je viens avec vous. » expliqua l'ex-capitaine du Normandy. « C'est inutile. » « Bien au contraire. C'est la première fois depuis que nous avons entamé cette résistance que nous menons une mission. Et même si ce n'est que pour Cerberus, cela a remotivé mes hommes. » Varto se retourna. Il haussa un sourcil, le genre de réaction qui signifiait en général "Et ?" chez quelqu'un. « Et puis vous n'y arriverez pas seul. » L'Amiral Anderson savait de quoi il parlait. Et l'autre Amiral ne pouvait guère lui donner tort. Ce dernier soupira. Après tout, il avait forcé la main à Hackett. Ce n'était qu'un juste retour des choses. En dépit de ce qui était prévu, il allait faire une concession. Il attrapa un des Eagle correctement posé sur la table et le lança à son interlocuteur.

[...]

Cerberus avait, au début de la guerre, investi un ancien site militaire. Sur le principe, ils essayaient de survivre comme tout autre humain sur Terre car les Moissonneurs ne faisaient pas la distinction entre les uns et les autres. Tout du moins, jusqu'à récemment. La folie de l'Homme-Trouble avait sans doute atteint un des locaux qui faisait désormais office de détracteur. Si les soldats d'Anderson n'étaient pas très touchés, d'autres poches de résistants subissaient des affronts inexpliqués de terroristes... Ce qui attirait inévitablement les troupes endoctrinées sur place. Deux groupes avaient été décimé de cette façon et un troisième avait eu la chance d'avoir une poignée de survivants. La Galaxie se préparait à l'assaut final, Shepard à sa tête... C'était un fait. Mais personne ne savait quand cela allait arriver exactement et il fallait les stopper avant qu'ils ne fassent plus de victimes. Au milieu d'une véritable jungle, Varto et sa petite équipe avaient mis deux longues semaines avant de retrouver la trace de Cerberus. Maintenant qu'ils étaient découverts, il ne fallait plus perdre de temps.

Le pseudo-quartier général était faiblement protégé en extérieur avant d'éviter d'alerter les patrouilles d'envahisseurs. Il avait été facile de déjouer l'attention des deux péons qui surveillaient vaguement l'entrée. A la minute qui suivit l'infiltration, Anderson et Varto s'étaient séparés pour mieux couvrir l'ensemble du périmètre. Ils gardaient néanmoins un contact radio. « RAS à la cantine. » avait-on soufflé dans l'oreillette de Vassily. « Vous savez Anderson, vous n'êtes pas obligé de me tenir informer de vos moindres mouvements. » « Vous n'êtes pas obligé de me répondre. » Étonné de cette répartie, le russe - enfin russe était un bien grand mot - ne savait pas quoi rétorquer, justement. Il continua à faire quelques mètres. Juste devant lui, un terroriste prenait sa pause cigarette. Au milieu du couloir, dos face à son futur assa... « Dites-moi Varto, j'ai une question à vous poser... » Le faible son avait alerté l'ennemi qui s'était retourné en un rien de temps. Il voulut armer son Mattock mais Varto avait bondi sur lui et l'avait poussé violemment contre le mur. Très vite, il lui adressa un coup de poing sur l'oreille droite pour le désarçonner avant de le prendre au cou à l'aide de ses deux bras. Il resserra l'étau. La proie ne se débattit pas longtemps et son corps retomba sur le sol. « Allez-y. » grogna ironiquement le tueur, le souffle injecté d'adrénaline. « Êtes-vous marié ? » Une pensée traversa l'esprit de l'intéressé. « Je l'ai été. Une fois. Pourquoi, vous êtes intéressé ? » Anderson ricana. « Je demandais juste. Quand on est confronté aux choses auxquelles on est confronté, on pense souvent à ce genre de détail. » Varto ne faisait déjà plus vraiment attention. Il continuait à arpenter les couloirs à la recherche d'éventuelles sentinelles. Il était très discipliné, quand bien même il n'avait plus fait de terrain depuis déjà une paire d'années. « Vous regrettez votre vie militaire, c'est ça ? » « Hm... Non. Et vous ? » « Je ne suis pas encore assez vieux pour penser à ça. » Anderson ricana encore. Un rire indulgent, sans doute. « Qu'est devenue votre femme ? » Le rôdeur continuait son chemin. Il venait de tomber sur un dortoir. « Elle est morte. » chuchota t-il avant de prendre soin de baisser le son de son oreillette - il allait entrer dans un lieu potentiellement peuplé d'ennemis. « Mes condoléances. Je ne savais pas. » Promptement, Varto balbutia un "merci" et pénétra dans la salle de repos. Les couchettes étaient vides. « Je viens de tomber sur un dortoir. Il est vide. » « La même ici. » répondit l'Amiral. « Où peuvent-ils bien être à une heure pareille ? »

Anderson posait une question intéressante. Ils avaient choisis de venir de nuit pour éviter l'assaut frontal, ce qui était une tactique dotée de bon sens. « Sur le plan, il est indiqué qu'il y a un grand entrepôt rattaché au bâtiment. Rejoignez-moi là-bas. » D'après ses calculs, il était non-loin du lieu de rendez-vous, justement. En quelques secondes, il atteignait la porte. « J'y suis déjà. » Surpris, Varto ouvrit la porte du dernier lieu de la visite.

[...]

« Pose ton arme. »

Le message était clair. Varto venait d'entrer. C'était une embuscade. Les soldats de Cerberus surplombaient l'entrepôt via des positions en hauteur, tandis qu'un petit commando de six hommes trônait au milieu de ce dernier. Celui qui venait de parler, le seul casqué dans le lot, tenait l'Amiral Anderson à genoux, un Carnifex plutôt menaçant bien contre la tempe. Puisqu'il ne pouvait guère négocier, Varto lâcha son Valkyrie. « J'aurai du me douter que c'était toi qui viendrait. » Le leader s'avança, le torse bombé et l'allure fière. « Même quand la Galaxie est en feu, tu ne résistes pas à l'envie de coincer des terroristes. Maman s'en souvient. » Il avançait toujours et arriva à distance respectable de l'autre. « Alors monsieur le Directeur, on est sans voix ? Ou peut-être que l'on t'appelle Vice-Amiral ? Peu importe. Mets toi à terre. » gronda le casqué. Le Vice-Amiral s’exécuta pendant que son provocateur éloignait son Valkyrie d'un coup de pied avant de tourner autour de sa capture. Il en profita pour ôter, lentement mais sûrement, ce qu'il avait sur la tête. L'air de famille était reconnaissable. « Dis-moi. Qu'est-ce que tu penses du choix de carrière de ton fils, "papa" ? » Il avait bien accentué sur les guillemets. « Je ne vais pas te dire que je suis fier de toi, si c'est ce que tu veux entendre. » Cette réponse avait enlevé le sourire niais de l'ennemi. « C'est tout ce que tu as à dire ? Tu vois, c'est pour ça que j'ai rejoins Cerberus. L'Homme-Trouble m'a ouvert les yeux sur l'arrogance et l'hypocrisie de l'Alliance... Vous êtes tous les mêmes. » Énervé, le leader frappa du pied avant de faire les cents pas. « Où tu étais pendant qu'elle crevait, hein ? T'as préféré sauver ton héros. Et après, tu t'es noyé dans ta carrière sans te soucier de ce que je devenais. » cria t-il avant d'enchainer. « Mais tu sais quoi ? Moi aussi, je suis comme toi. Tu sais comment ils m'appellent ? Le Général. Pour mon sens tactique. C'est tellement ironique. »

Il se mit à rire. Un espèce de rire entre la diabolique et le pathétique. Puis il s'approcha de son père, rapidement, promenant dangereusement son Carnifex avec lui. Il se pencha. « Je veux voir ton regard quand je te tuerai. Donc ne ferme pas les yeux. » « Je clignerai pas une seule seconde. » « C'est pour ça qu'Hackett t'apprécie. Il a le même orgueil. Je me demande ce qu'il dira quand il saura que le "Général Varto" est derrière tout ça. Il sera plus surpris que toi. » Un silence parcourut la salle. Le sourire refit surface sur les lèvres de fils prodigue. « Il le sait, Robert. »

Les yeux vitreux et injectés de sang de "Robert" s'écarquillèrent. « Quoi ? » Vassily leva les yeux. Les soldats de Cerberus avaient été remplacés par quatre snipers de l'Alliance. Pendant que Robert reculait, Anderson reçut le signal. Il se coucha à terre et sans attendre, le commando fut exécuté d'en haut. Ils essayèrent de réagir tant bien que mal mais aucun n'en réchappa.

Durant ce laps de temps, le Vice-Amiral s'était relevé et rattrapait calmement le dernier homme de Cerberus, effrayé. Il murmurait des choses incompréhensibles. De son côté, Anderson regardait la scène avec interrogation. Vassily venait de sortir son Eagle, préalablement accroché dans son dos et avait pris en joug son fils. « Je m'excuse. Pour tout. Mais tu es endoctriné. Je ne peux pas... » La phrase s'interrompit soudainement par un coup de feu. Le "Général" avait gardé son Carnifex et venait, dans un élan de désarroi, de toucher son père au torse. Celui-ci, étonné, regarda le sang se répandre et former une tâche sur sa pseudo-armure. Dans un dernier réflexe, il visa le crâne de Robert et tira également. La seconde après, il s'effondra.



25 Décembre 2193, Londres, 18h01.

Vassily fixait sa poitrine. Tout cela lui rappelait de douloureux souvenirs. Quand bien même n'était-il pas meurtri parce qu'il avait fait, il avait tué son propre fils. Et s'il considérait que l'Homme-Trouble et son obsession pour l'endoctrinement était la cause de cette mort, il en était tout autant responsable car il avait laissé sa seule famille rejoindre Cerberus. Dans un sens, tout aurait du se finir dans cet entrepôt - presque aussi théâtralement que ça avait commencé. Cela aurait été légitime.

Mais si cette pensée avait longuement traversée l'esprit du héros de cette histoire, il avait conscience que cette balle qui avait manqué son cœur, tout comme la survie de la Galaxie face à ces machines destructrices qu'étaient les Moissonneurs, étaient des signes plutôt évocateurs. Et cinq ans après la fin de la Guerre, une ère de renouveau s'annonçait. Bientôt en 2193. Bientôt un an que les Moissonneurs étaient partis. Et contre toute-attente, bientôt un an qu'il était Amiral-en-Chef. Il lui avait fallu du courage pour prendre la place du légendaire Hackett. Il n'était rien par rapport à l'homme charismatique qui avait occupé la place avant lui. Bien qu'il savait que c'était pertinemment à cause de sa discrétion et pour ces différences qu'il avait été placé là. Il était nettement moins médiatisé et le Premier Ministre, tout comme le Parlement, en profiteraient pour éloigner l'attention de l'Armée. En attendant, le domaine publique n'était pas de son ressort et ce n'est pas parce que des héros comme Hackett, Shepard ou Anderson ne faisaient plus partie intégrante de l'affiche qu'il ne devait pas faire son travail. Pour le coup, c'était un travail complexe à assumer.

Toutefois, s'il devait cette place, c'était à une personne qui avait su voir en lui quelqu'un de totalement différent. Quelqu'un envers qui il avait toujours été loyal, dévoué et respectueux. Un respect qu'il avait su lui rendre. Plongé dans ses remords, il avait passé des années derrière son bureau ou dans son armure, à défendre la veuve et l'orphelin (et surtout à défendre les intérêts de l'Alliance). Alors pour une fois, un peu de sentimentalisme ne lui ferait pas de mal. C'est ce qu'il avait pensé. C'était pour cette raison qu'il était là, devant cette maison, au milieu de cette rue qui donnait sur un lotissement d'habitations qui semblait tout droit sortir du début des années 2000. La nostalgie des Hommes. Inspirant un bon coup, il avança vers la porte. Elle avait beau avoir l'air ancienne, elle était dotée d'une sonnerie tactile.

Quarante secondes plus tard, quelqu'un ouvrit. L'hôte semblait estomaqué. « Vassily ? » prononça t-il durement. Varto acquiesça. Lui et Sullivan se regardèrent. Une voix féminine hurla un "c'est qui ?" plutôt approprié. L'un comme l'autre ne savait pas comment réagir. Mais finalement, la suite fut simple. « Entre. »


   
Physique


Vassily est un homme plutôt grand (1m91) avec une carrure dans les normes, plutôt moyenne mais athlétique à cause de ses nombreux entrainements. Si sur le papier, il a l'air assez imposant, il n'en est pas moins qu'il parait petit à côté de Turiens et de Krogans et dans l'ensemble très melting-pot que forme la galaxie, il ne parait au final pas si immense. Il n'en impose que par son agilité et sa façon assez rapide d'allier les mouvements, qui en surprendra plus d'un à cause de son physique (qui aurait pu l'handicaper) et de la rigidité qu'il affiche sur le visage.

S'il a eu plusieurs tendances capillaires au fil du temps, il n'est pas négligé. La plupart du temps, il possède une coupe cheveux courts mais il lui arrive de laisser pousser et d'avoir une coiffure mi-longue, ce qui n'est qu'apprécié au sein de l'Amirauté. Il y a cependant une constante : il se rase rarement les cheveux mais il soigne sa barbe, qui n'est que rarement apparente. Cela lui octroie un côté minutieux, à défaut d'autre chose.

Il possède de nombreuses cicatrices, que ce soit à cause de son adolescence ou de sa vie militaire. La plus visible est sur son torse, où une balle a manqué son cœur et où la marque est encore "trop récente".
   
Mentalité


On considère souvent Vassily comme un homme sobre, réservé, parfois effacé. S'il possède une certaine répartie et une présence d'esprit, son charisme ne brille pas automatiquement au milieu d'une foule et il sait, de fait, se faire discret. Il a néanmoins les capacités suffisantes pour diriger des hommes et sait s'imposer quand il le faut.

En tant que supérieur, il est vu comme quelqu'un de strict et d'exigeant. Il est loin d'être le plus brusque des commandants mais son expérience, acquise auprès de gens comme Hackett et au cours de ses nombreux commandements, l'oblige à se montrer intransigeant.

Dans les relations personnelles, Vassily garde toujours cet aspect très circonspect mais il fait preuve d'un grand savoir d'écoute et d'une ouverture d'esprit parfois surprenante. Il est avisé et il sait faire preuve d'une grande maitrise de soi. Tout cela est combiné avec une solitude notable puisqu'il noue rarement des relations autrement que professionnelles.

De manière générale, il est éthiquement loyal : il respecte les lois, dans la mesure où il doit également les faire respecter. Il a conscience des défauts de l'Alliance mais il estime que les gouvernements ont tous des défauts équivalents et qu'ils sont un mal nécessaire. Il n'a pas d'avis particulier vis-à-vis du Conseil ; il éprouve juste une sympathie à l'égard de la communauté de l'Espace Concilien.
Il est moralement neutre : il a vécu toute sa vie en devant faire des sacrifices, parfois en abandonnant sa famille, parfois en condamnant des innocents. Ce n'est pas des choix qu'il a pris pour s'en délecter mais il vit avec et il sait que le Bien et le Mal sont des notions abstraites qui ne s'appliquent pas au même degré en fonction des situations.

   
Chronologie

  • 5.01.2147 : Vassily né à Moscou, de Vaclav et Nelina Varto. Il est enfant unique.

  • 04.2164 : Vaclav et Nelina Varto sont tués dans un braquage qui a mal tourné.
  • Il est confié à sa tante, la sœur de Nelina, Cassandra Ulmek. Elle a deux filles qu'elle élève seule, Debora et Krystel.
  • Sa tante étant alcoolique, il tente de s'engager dans l'Alliance mais sans succès, n'ayant pas l'âge requis.
  • 5.01.2165 : Il quitte son domicile et s'engage.
  • Il est envoyé à Vancouver où il suivra un entrainement rigoureux non-loin de là.

  • 2167 : Sa cousine, Krystel, lui présente une amie à elle : Nina, d'origine française. Ils entretiendront une relation.
  • Vassily est affecté à son premier vaisseau, le SSV Cape Town. Avant son départ, épris l'un de l'autre, Vassily et Nina décident de se marier. Elle tombera enceinte.
  • 15.11.2167 : Nina donne naissance à leur fils. Elle le nommera Robert, comme son grand-père.

  • 2169 : Après deux ans sur le SSV Cape Town en tant que Matelot, il est muté sur la frégate SSV Gao, sous le commandement du Lieutenant-Commandant Charles Matthews. Il y sera promu Caporal (aussi Quartier-Maitre).
  • 2171 : Il est ensuite muté sur la frégate SSV Verdun, sous le commandement du Capitaine Waldemar Costa. Il y est promu Sergent (aussi Second-Maitre).
  • 06.2173 : Après une aventure avec le Caporal Emma Bolton, il demande à être muté de six mois à un an sur Terre pour se rapprocher de sa famille. La demande lui est accordé. Il sera promu Adjudant.
  • 06.2174 : Il est de nouveau muté sur une frégate : le SSV Vitichi, sous le commandement du Capitaine Rody Ortega.
  • Deux mois plus tard, le Capitaine Ortega meurt lors d'une mission et c'est le Commandant Sung Heu-Hoon qui prend sa place. Les nombreuses dissidences vis-à-vis de lui et de l'équipage dissolvent le SSV Vitichi.
  • 12.2174 : Il rejoint la corvette SSV Arnhem, sous le commandement du Lieutenant Samya Gersh.
  • 01.2175 : Il est promu Adjudant-Chef.
  • 03.2175 : Le Major Xavier Marcks décède. Il prend sa place.
  • 07.2175 : Méritant, il est promu Enseigne.
  • 07.2176 : Il est promu Sous-Lieutenant et assiste directement le Lieutenant Samya Gersh.

  • 11.2176 : Il passe l'Examen d'Intelligence Tactique (en situation de combat), un concours facultatif qui permet de vérifier les aptitudes et à augmenter l'accréditation.
  • 12.2176 : Vassily obtient 97%, score historiquement impressionnant. Il est contacté par le Vice-Amiral Sullivan Horth, occupant la place de Directeur des Forces Spéciales afin de rejoindre la division N de l'Alliance. Il est envoyé à Rio pour une formation.

  • 12.2177 : Un an après sa formation, il ressort N5 de l'académie de Rio et est promu Lieutenant. Il intègrera l'équipe du Vice-Amiral Sullivan Horth (qui en assure la supervision), alors sous le commandement du Commandant Mina Kitsuko, N7. L'équipe est aussi composée du Lieutenant-Commandant Ruth Dennings et des Lieutenants John Rhodes et Emmerich Eden.
  • Durant pratiquement trois années, il accompagnera l'équipe au cours de ses missions, acquérant beaucoup d'expérience. Trop absent, il divorcera de Nina à la fin de l'année 2178.
  • 03.2179 : Sous la recommandation du Commandant Kitsuko, il est promu Lieutenant-Commandant et obtient le N6.
  • 11.2180 : Le Commandant Kitsuko rejoint l'équipe supervisée par l'Amiral Hackett et est promue Capitaine. Sa recommandation et celle du Vice-Amiral Horth placent Varto en tant que Commandant. Toutefois, sa première mission doit être directement supervisée par le Vice-Amiral Horth.
  • Au même moment, il apprend que Nina est gravement malade.
  • 12.2180 : Sa première mission en tant que Commandant se déroule sur Watson, où des révolutionnaires tentent de prendre le pouvoir. Elle est connue sous le nom de Crise de Watson.
  • La mission tourne mal : l'embuscade tendue par les terroristes coincera les commandants (Horth et Varto) de leur commando. Toutefois, tous réussissent à s'en sortir jusqu'à l'arrivée des renforts (l'équipe du Capitaine Kitsuko). Sullivan Horth en ressort gravement blessé et le Lieutenant John Rhodes aura perdu la vie en se sacrifiant pour sauver celle du Lieutenant-Commandant Dennings.
  • Au même moment, Nina meurt des suites de sa maladie. Robert est confiée à sa tante, Krystel Ulmek.

  • 01.2181 : Pour sa bravoure, le Commandant Vassily Varto obtient le N7. Il sera officiellement placée à la tête de sa propre équipe.
  • Le Vice-Amiral Horth cédera sa place de Directeur des Forces Spéciales à l'Amiral Hackett.
  • Le Lieutenant-Commandant Dennings quitte l'équipe. C'est Eden qui prend sa place. Les Lieutenants Emma Bolton (une ancienne connaissance de Vassily), Singh Najra et Jim Gravonheart rejoignent l'équipe.

  • 2183 : Réputé pour être efficace, il est promu Capitaine et commencera à assister l'Amiral Hackett en plus de ses missions.
  • 2184 : Le manque de place dans l'Amirauté, suite à l'assaut contre Sovereign, lui permet d'accéder au poste de Commodore - tout comme le Capitaine Kitsuko.
  • 2185 : Il est nommé officiellement Vice-Directeur des Forces Spéciales.
  • Il quittera, par ailleurs, son équipe et laissera le commandement au Commandant Eden.
  • 2186 : La Terre est attaquée et les pertes sont lourdes. Hackett, devant diriger le projet Creuset, lui confie sa fonction de Directeur et le propulse Vice-Amiral.
  • Varto proposera d'abord au Contre-Amiral Kitsuko de l'assister mais cette dernière refusant, il nomme le Commandant Eden à cet effet.
  • 2187 : Varto laisse temporairement ses fonctions au Commandant Eden pour s'occuper du problème Cerberus sur Terre.
  • Il devra tuer son fils, avec lequel il n'avait pas eu de contact depuis longtemps et qui menait les troupes Cerberus sur place mais il n'en réchappera que de justesse. Gravement blessé, il ne pourra assister à la reprise de la Terre.

  • 2188 : Varto est toujours Vice-Amiral après la Guerre. Il garde sa fonction de Directeur des Forces Spéciales.

  • 2189 : L'Amiral-en-Chef Hackett, bien qu'il ait peu apprécié la décision de Varto durant la Guerre, décide de lui confier la 2ème Flotte ; cette dernière avait été sacrifiée aux Moissonneurs dans la destruction d'Arcturus. Il est donc promu Amiral.

  • 04.2192 : Il est décidé que l'Amiral Vassily Varto succédera à l'Amiral Steven Hackett à la tête de l'Armée de l'Alliance, celui-ci ayant démissionné de son poste un mois plus tôt.
  • L'Amiral Vassily Varto décide de ne pas reprendre le commandement de la 5ème Flotte. Il poste l'Amiral Kendra Kabyss - anciennement Vice-Amiral de la 2ème Flotte - à la tête de cette flotte.
  • Il promeut Mina Kitsuko qui deviendra Vice-Amiral de la 2ème Flotte et qui lui succédera au poste de Directrice des Forces Spéciales.


Dernière édition par Vassily Varto le Sam 11 Jan - 12:41, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Amiral Varto, au rapport. [100%]   Amiral Varto, au rapport. [100%] Icon_minitimeSam 11 Jan - 2:58

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MessageSujet: Re: Amiral Varto, au rapport. [100%]   Amiral Varto, au rapport. [100%] Icon_minitimeSam 11 Jan - 3:05

Et bien mes félicitations, formalité remplie avec succès, tu es accepté Pervers A bientôt IRP peut-être !
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MessageSujet: Re: Amiral Varto, au rapport. [100%]   Amiral Varto, au rapport. [100%] Icon_minitime

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